Cela me prend la quasi-totalité de mon temps. Pour la pony, il s'agit également d'une période très intensive.
Mais même durant le reste de l’année, l’activité pony ne nous laisse que peu de temps pour réaliser d’autres activités.
Je ne sais pas comment font certaines personnes qui pratiquent la même activité que nous et qui parviennent cependant à pratiquer d'autres activités, parfois multiples dans le BDSM ? Quand je regarde régulièrement les activités de chacun, je constate que nombreux sont ceux qui s'investissent dans des pratiques très diversifiées, y compris celle du pony.
Développer une activité nécessite cependant d'y consacrer du temps, afin que celle-ci soit la plus aboutie possible ; sinon cela devient superficiel.
Je connais différentes personnes qui ont développé dans les domaines du BDSM des activités bien spécifiques autres que le pony. Ces personnes dépensent également beaucoup d’énergie et de moyens dans ces activités.
Je pense particulièrement à une personne qui nous suit et qui développe la pratique et la maîtrise des griffes.
Je pense également à ce couple qui travaille avec beaucoup de passion sur la fabrication et le maniement du fouet et des martinets. Nous sommes tous mutuellement animés par la même passion du détail et du travail bien fait.
Je me souviens moi-même, que lorsque je pratiquais le shibari, je passais des heures en entraînements avec mes cordes.
Qu'il s'agisse du domaine des dolls, du shibari, du fireplay, du travestissement, du fouet ou de bien d’autres activités du BDSM, toutes les personnes que je connais pratiquent leur activité avec passion et sérieux.
La diversité des activités du BDSM, c’est bien quand on débute ; car cela permet d'en découvrir les différentes facettes. Mais avec les années qui avancent, la spécialisation dans une domaine bien précis est une nécessité, car elle permet de se concentrer sur sa passion.
Le sulky
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